De nombreuses expériences ont démontré que s’imaginer faire un sport où
le faire réellement ne se traduit pas forcement par une grande différence au
niveau des résultats.Les coureurs aux départ d’un 100 m ne font pas des pompes
ils visualisent leur course.
Nous l’utilisons également dans la vie de tous les jours. on ne s’en rend pas compte. voici des exemples:
- Vous avez un rendez vous et vous visualiser (appréhender la rencontre)
- un examen arrive et vous vous dites que vous n’y arriverez pas…
En fait on visualise beaucoup plus facile ses peurs, ses angoisses, que ses futures réussites.On s’entraine malgré soi à ne pas obtenir ses objectifs, à les freiner, à se mettre des bâtons dans les roues.
En prendre conscience, c’est le début de votre changement.
Pourquoi seriez vous pessimiste ? essayer pendant une semaine d’être terriblement optimiste, allez c’est votre semaine, accordez vous plein d’images positives. Au début vous aurez votre petite voix intérieure qui vous dira « c’est inutile…blablabal.. »
Pas grave, allez jusqu’au bout, dites vous que c’est une expérience : La semaine ou j’ai cru en moi !
Le fait de vous dire que c’est une expérience, vous aidera dans les premiers jours. L’habitude de ne pas croire que tel objectif est à votre hauteur est très dure à combattre. Juste une petite semaine, vous pouvez vous accorder cela.
L’Effetcric entre à ce moment en action, vous allez régulièrement à ,l’image d’une vague qui façonne une falaise créer un début d’habitude.
A la fin de la semaine vous vous apercevrez combien vous n’osiez pas avoir confiance en vous, vous commencerez à avoir du recul sur vous même.
En conclusion:
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